vendredi 28 mai 2010

Etat de service dans la marine de sevices et de commerces

La généalogie d'une famille ne se résume pas qu'à une date de naissance et de décès. je recherche donc la profession de chacun de nos ancêtres pour mieux les connaître et apprendre à travers cela qui ils étairent vraiment. Voilà l'exemple pour Saubat Etcheverry, marin de son état.

Après avoir recherché les états de services auprès des services de la Marine de Rochefort, de Saubat et de Jean Etcheverry, j'ai réalisé une transcription des documents pour mieux comprendre chacun de leurs périples entre Bayonne, Nantes, Rouen, St Pierre et Miquelon entre autre.

Merci papa pour le coup de main !

Etcheverry Saubat

né à St Jean de Luz le 10 février 1798

Taille : petite ; poil : roux ; yeux : châtain ; front : petit ; nez : moyen ; bouche : petite ; menton : rond ; visage : ovale.
Fils de feu Martin meunier et de Gracieuse DURONEA
Demeure à feu fils, rue du Centre n°5.

1816 : le 29 mars 1816 à St Pierre et Miquelon, sur la Goélette La liberté, Capitaine HIRIBARREN. Revenu du voyage le 10 (?) 1816.
1817 - Le 6 avril 1817. Parti du port Socoa sur la Goélette L'Etoile, Capitaine CARRERE, pour St Pierre et Miquelon.
débarqué à Bayonne le 6 (?), pour le même jour.
1818 - Le 16 mars embarque à Bayonne sur la Goélette La Nouvelle Alliance, Capitaine FAGONDE, en qualité de passager, allant à St Pierre et Miquelon, où il doit embarquer sur la Goélette Le St Pierre, Capitaine OBREUS, au (?) au dit lieu jour (?),Nouvelle.

Porté aux mots à f.30.n°117

1816 - le 14 mars 1816 à St Pierre et Miquelon, sur la Brick L'Espoir, Capitaine MAMESEAU, revenu du voyage le 7 décembre 1816.

1816 à 1828 : Matelot 2ème classe.

1826 - le 4 avril embarqué à Bayonne sur le Brick L'Actif, Capitaine MAMESEAU, pour St Pierre et Miquelon rôle n° (?) Débarqué à Bayonne, le 30 septembre 1826.
1827 - le 2 janvier. Embarqué à Bayonne sur le chasseur La Zélia. Capitaine (DUCRBER) pour le cabotage : débarqué à Bayonne, le 8 mai 1827.
1827 - le 20 juillet. Embarqué à Bayonne sur le Brick La Zélia, Capitaine (FAUTAT), au L?C. (?).
1828 le 17 avril embarqué à Bayonne sur la Goélette L'Elisabeth, Capitaine RENAUDEAU allant au cabotage : débarqué à Rouen, le 21 juillet 1829. présenté au bureau le 19 (?).
1829 : Le 26 septembre embarqué à Bayonne sur le chasseur Le Rossini, Capitaine HARISMENS y, allant au cabotage : débarqué à Bayonne, le 29 mai 1830.
1830 : le 19 juillet embarqqué à Bayonne sur le Brick L'Aimée, Capitaine CHURITS, allant au cabotage. Débarqué à Bayonne le 30 janvier 1832.
1832 : le 20février embarqué à Bayonne, sur L'Aimée, Capitaine CHURITTO allant au cabotage. Débarqué à Nantes, le 25 octobre 1832, présenté au bureau le 6 novembre (?).
1832 : Le 19 novembre embarqué à Bayonne, sur le Brick Le Léonidas, Capitaine BASTERRETCHE - allant au cabotage. Débarqué le 23 février 1833 * époque du naufrage du Brick Le Léonidas à l'Ile de Sains présent au bureau le 12 mars suivant.
1833 : le 23 mars embarqué à Bayonne, sur le Brick L'Actif, Capitaine MANESEAU, allant à St Pierre et Miquelon, note n° 44. Débarqué à Bayonne le 2 septembre 1833.
1833 : le 21 septembre embarqué à Bayonne sur le Brick Le Hazard, Capitaine DIBARBARURE, allant au cabotage rôle n° 64. Débarqué à Bayonne le 1er avril 1834.
1834 : le 12 avril embarqué à Bayonne sur le Brick La Louise, Capitaine DUPUY, allant à St Pierre et Miquelon rôle n° 25. Débarqué à Bayonne le 8 septembre 1834.
1834 : le 9 septembre embarqué à Bayonne sur le Lougre Le Rossini, Capitaine IBARRA, allant au cabotage, rôle n° 57. Débarqué à Bayonne le 27 février 1835.
1835 - le 14 avril embarqué à Bayonne sur le Brick Le Pierre Amélie, Capitaine LACOUTURE, allant au cabotage, rôle n° 35. Débarqué à Bayonne, le 8 septembre 1835.
1835 le 18 septembre embarqué sur la Chaloupe, Le Petit François, Patron ONDICOLA, à la pêche au poisson frais. Débarqué le 21.
1835 - le 23 septembre embarqué à St Sébastien, sur le Lougre François La Nouvelle Marée, Capitaine DESPARENET, allant au cabotage, rôle n° 185.
Débarqué à Bayonne le 24 juin 1836.
1836 : Le 26 juin embarqué à Bayonne sur La Nouvelle Marie.
Capitaine DESPARENET, allant au cabotage rôle n° 59. Débarqué à Bayonne.
1837 le 6 juillet 1837 * : le 19 juillet 1837. donné permis pour Bayonne : le dit jour embarqué à Bayonne sur le Lougre La Nouvelle Marie Capitaine DUPARMET (?) allant au cabotage rôle n° 54 Débarqué à Bayonne le 27 novembre 1837. Le 23 décembre 1837 embarqué à Bayonne Mot sur le Brick "L'Aimable Irène", Capitaine MAGUE, allant au cabotage rôle n° 116 (?).
1838 : Débarqué à Bayonne le 19 décembre 1838
le 31 décembre 1838 embarqué à Bayonne mot sur le Lougre " Le Courrier Basque", Capitaine MIQUELENO, au cabotage rôle n° 29.
Débarqué à Bayonne le 10 mars 1939.
1839 : le 13 mars embarqué à Bayonne sur le "Courrier Basque", Capitaine MIQUELENO au cabotage rôle n° 18. Débarqué à Bayonne le 17 mars 1840 (12". 40). Le 26 mars 1840 embarqué à Bayonne sur le Lougre "Le Rossini", Capitaine DUHART. Au cabotage rôle n° 27.

= en 1840 : était matelot de 2nd Classe.
18 - Rquort (?) de services à l'Etat et naviguation au Commerce.

1840 : le 26 mars embarqué à Bayonne sur le Lougre " Le Rossini", Capitaine DUHART, au cabotage rôle n° 27. Débarqué à Bayonne le 6 août 1840 (4 ; 10). Le 24 août 1840 embarqué à Bayonne sur le Brick " La Renaissance" Capitaine DUNATTE, au cabotage rôle n° 57
Débarqué à Bayonne le 29 avril 1841 (8m05)
1841 le 4 juin embarqué à Bayonne sur le Brig " L'Alexandre", Capitaine BERGEREAU, au cabotage rôle n° 65. Débarqué à Bayonne le 22 juin-
1842 le 28 mars 1842 embarqué sur "Le Petit" françois, Chaloupe de pêche, rôle n° 7 de 1842.
Débarqué le 28 avril (0.29). le 29 embarqué sur le Brig "Le Basque", Capitaine DUPUY, allant à St Pierre et Miquelon rôle n° 49. Débarqué à bayonne le 1 er mars 1843;
1843 : le 2 août embarqué à Bayonne, mot, sur le Brig Le Yasses, Capitaine LAFOURCADE rôle n° 167, allant au cabotage débarqué à Marseile le 167.....1, 15) le 187 - embarqué au dit lieu, mot, sur le même navire, même Capitaine, rôle n° 563, allant à Haïti, débarqué à Marseille le 9 mars 1844. Le 10 avril embarqué au dit lieu, Mot (=Matelot), sur le même navire, même Capitaine, rôle n° 179, allant au gd cabotage débarqué à Bayonne le 26 juin suivant. Le 10 (juillet) (?) embarqué à Bayonne, Mot, sur le "Jeune Edouard", Capitaine DARDISGUY, rôle n° 34, allant au cabotage,
1845 : débarqué à Bayonne le 17 juillet 1845 - le 21 embarqué à Bayonne, Mot, sur le "Jeune Edouard", Capitaine DARDISGUY, rôle n° 107...
1846 : allant au cabotage débarqué çà Bayonne le 19 février 1846. Le 11 mars suivant embarqué, mot, sur la "Jeanne", Capitaine BERGARE pour pêcher en mer rôle n° 12.
1847 : Débarqué le 4 août 1846. Le 19 mars 1847 - embarqué à Bayonne mot sur le "Flambarts (?) les Basses Pyrénées, Capitaine LAXALDE, rôle n° 148 allant au cabotage, débarqué à Bayonne le 14 janvier 1848 rôle n° 4. Le 16 août suivant embarqué à Bayonne sur "La Bidartine", Capitaine MESPLESE, rôle n° 27, allant au cabotage, débarqué à Bayonne le 4 décembre : retour au port le 31 du dit.
Le 1er mars 1849 passé au hors de service à f°114 n° 53 suivant, dépêche ministérielle du 19 février 1849.
Le Commerce de l'Interieur Maritime.
Porté le 1er janvier 1866 sur la nouvelle matricule f° et n° 11.
( toujours matelot 2nd classe = invalide pensionné).
1850 : le 1er janvier 1850 - Inactif - Embarqué à St Jean de Luz.
1851 : le 3 août 1851 - mateot sur la Chaloupe " Le jeune St Nicolas" pêche en mer rôle n° 16.
Débarqué le 14 septembre 1851.
1852 : Embarqué à St Jean de Luz, le 20 mars 1852 matelot sur la chalope La..........pêche en mer rôle n° 6
Débarqué le 28 mars 1852 - Embarqué au dit port le 29 du dit matelot sur la même chaloupe pêche en mer rôle n° 6. Débarqué le 1 er juin 1852. Embarqué à St Jean de Luz le 8 juillet 1852, matelot sur la Chaloupe le "Petit Marie" pêche en mer rôle n° 19. Débarqué le 15 juillet 1852 - permis pour Bayonne le même jour. Embarqué audit port le 16 du même mois matelot sur le Lougre "Les Deux - Frères" allant au cabotage rôle n° 56 de Bayonne-Débarqué à Bayonne le 6 octobre 1852 retour au port le 7 du dit. Permis pour Bayonne le 21 mars 1853. Embarqué au dit port le 25 du même mois matelot sur la Bisquine "Elisabeth", allant au cabotage rôle n° 71 de Bayonne. Débarqué à Bayonne le 12 août même année retour au port le 14 du dit.
1854 : le 1 er janvier 1854 : Inactif. Embarqué à St Jean de Luz le 10 avril 1854, matelot sur la chaloupe "La Jeanne" n°2, pêche en mer rôle n°12. Débarqué le 8 mai 1854. Permis pour Bayonne le même jour. Embarqué au dit port le même jour, matelot sur la Bisquine "Le Chanda", allant au cabotage rôle n° 177 de Bayonne à débarqué à Bayonne le 31 juillet 1854 retour au port le 1 er août suivant permis pour Bayonne le 12 août 1854. Embarqué au dit port le 16 du même mois matelot sur la Bisquine "Le Chanda" allant au cabotage rôle n° 189 de Bayonne. Débarqué à Bayonne le 2 février 1855 retour au port le 3 du dit. Embarqué à St Jean de Luz le 17 avril 1855 matelot sur la Chaloupe la "St Anne" pêche en mer rôle n° 12. Débarqué le 20 juin 1855. Embarqué à St Jean de Luz le 28 du dit 2nd matelot sur la Chaloupe "L'Elisabeth" pêche en mer rôle n° 18. Débarqué le 3 août 1855. Embarqué à St Jean de Luz le 4 août 1855 matelot sur la Chaloupe "Les quatres - frères", pêche en mer rôle n° 1.
Débarqué le 4 octobre 1855. Embarqué à St Jean de Luz le 11 mars 1856 matelot sur la Chaloupe " La Jeanne" n° 2 pêche en mer rôle n° 14, débarqué le 3 mai 1856. Embarqué le 3 du dit sur la même chaloupe, pêche en mer rôle n° 15, débarqué le 30 mai suivant.
Embarqué à St Jean de Luz le 13 juillet 1856 matelot sur la Chaloupe " L'Elisabeth" pêche en mer rôle n° 25 débarqué le 6 septembre 1856. Embarqué le 18 mars 1857.
1857 : Sur la "Jeanne" n°2 rôle n° 15. Débarqué le 2 mai 1857. Embarqué le 3 mai 1857 matelot sur la même - rôle n° 18 Pêche. Débarqué le 2 septembre 1857.
Inactif dans ses foyers à St Jean de Luz 1878.
Décédé à St Jean de Luz le 14 septembre 1878.
par le Commissaire de l'Inscription maritime
Signé : L. LABORDE.

samedi 8 mai 2010

Les noms de familles

Bertrand : Nom de personne d'origine germanique, formé avec les mots berht = brillant, et hramm = corbeau. le "D" final est dû à la contamination par le suffixe - AND.
de Béthune : Nom donné à celui qui est originaire de la ville de Béthune (62). Le sens de ce toponyme demeure mystérieux : on a proposé le préfixe bi-, suivi du germanique - thun (= ferme, enclos, puis groupe d'habitation, cf l'anglais town), ou encore l'ancien français betun (= terre boueuse). A noter qu'une rivière de Normandie s'appelle la Bétune.
Chauvin : Nom fréqent dans l'Ouest. C'est le sobriquet, diminutif de chauve, éventuellement utilisé comme nom de personne médiéval.
Daguerre : Vient du métier : fabricant de dagues (qui était une épée à large lame et courte au XIVème - XVII ème siècle - grand couteau de vénerie qui se réalisé avec les premiers bois, simple, des jeunes cervidés).
Desclaux : signifient "des enclos" (latin clausum)
Etcheverry : Nom basque fréquent dans les Pyrénées - Atlantique. Comme beaucoup de noms basques, c'est au départ un toponyme signifiant la maison neuve (etche = maison + berri = neuf).Variantes : Etcheberry, Detcheverry, Etcheberria, Etcheverria, Etcheverrya
Labat : Fréquent en pays gascon, le nom peut avoir deux sens. Soit il signifie "abbé" soit, et c'est sans doute le plus souvent le cas, il s'agit d'un toponyme ayant le sens de "vallée" (agglutination de "la vath").
Lefèvre : Le nom désigne un forgeron.
Puget : Variante du nom Pouget, qui signifie "petite colline".

mercredi 5 mai 2010

La danse





Fêtes religieuses ou profanes, veillées, sont autant d'occasions de danser. Jusqu'au 19 èmes siècles, les hommes exécutent en rond les "jauziak" ou sauts, annoncés à haute voix par un meneur. Les danses mixtes sont essentiellement des danses en chaîne "soka dantza", ayant souvent un caractère cérémonial. A la fin du 19 ème, apparaissent lors des fêtes patronales, polkas, quadrilles et fandango.
De nos jours, les sauts font partie intégrante de tout les cortèges, spectacles et fête de village : carnavals labourdins, cavalcades bas - navaraises, procès satirique "toberak", charivaris, mascarades et pastorales souletines...
La pastorale héritée des mystères ruraux du Moyen Age, est un spectacle monté et joué pour tout le village. La mise en scène, très codifiée, obéit à des principes immuables en musique, textes, chants, défilés et bataille en musique, textes psalmodiés et danses. Le thème récurrent est la victoire des bons contre les méchants, soit celles des "Chrétiens" sur les "Turcs". Les acteurs parcourent la scène selon des trajets prescrits, alors que les "Satans", vêtus de rouge et chargés de semer la discorde, interviennenet régulièrement pour divertir les spectateurs avec leurs danses.

mardi 4 mai 2010

Rites et traditions funéraires, ainsi va la mort

Jusqu'au milieu du 20ème siècle, dans les campagnes, les voisins jouent un rôle essentiel lors des rites funéraires.La mort est annoncée aux abeilles et au premier voisin. Celui - ci, aidé de son épouse, prend en charge tous les préparatifs des funérailles ainsi que les travaux domestique de la maison. Il va à l'église chercher la croix paroissiale pour l'installer pour l'installer dans la chambre mortuaire. Il s'occupe aussi d'avertir les autres membres de la famille. Les voisines lavent et préparent le défunt, elle glissent entres ses doigts son chapelet. Les murs de la chambre sont tendus de linges piqués de rameaux bénis.La première voisine accueille les visiteurs et les conduit auprès du défunt. Elles reçoit les offrandes de lumières et de prières. Le cortège funèbre emprunte "hibidea", le chemin sacré, qui relie la maison à l'église. Le premier voisin marche en tête portant la croix paroissiale. Son épouse tient les cires de deuil allumés dans un panier. Les voisins se chargent du cerceuil, les femmes suivent, revêtues de leurs longues capes noires.L'enterrement est suivi d'un repas qui rassemble la famille et le voisinage. Durant toute un année, les proches du défunt vivent en marge des fêtes et des divertissements. La cire de deuil est allumée quotidiennement à l'église, sur le "jarleku" de la maison.Au cimetière, la tombe est régulièrement entretenue. Aux 17 et 18 èmes siècles, elle est surmontée d'une stèle discoïdale tabulaire ou cruciforme richement ornée.

dimanche 2 mai 2010

Le basque, une langue atypique

Atypique, la langue basque l'est notamment dans sa structure. Contrairement à toutes les langues indo - européennes, elle ne répond pas à la construction classique du Sujet Verbe Complément. La construction du basque est si spécifique qu'elle suscite l'intérêt de nombreus linguistes. D'autres langues comme le géorgien, ont des structures grammaticales voisines. Pour fuir les invasions indo - européennes, certains peuples se seraient réfugiés les uns dans le Caucase, les autres dans les Pyrénées, selon l'une des thèses retenues pour expliquer les relations entres les deux idiomes ( langue propre à une communauté).
Si les origines du basque restent pour le moins incertaines, son ancienneté sur les deux versants des Pyrénées et dans les plaines de l'Ebre et de la Garonne est révélée par les pierres tombales du Comminges (le sud du département de la Haute - Garonne). C'est donc dans la Haute - Garonne que l'on trouve les plus anciens vestiges de la langue basque.
L'orthographe basque est plus simple, plus phonétique que celle du français. Toutes les lettres se prononcent, toujours de la même manière et sans qu'il y ait fusion de plusieurs lettres en un seul nom. L'alphabet basque est quand même un peu différent de l'alphabet français. Les lettres C, V, W, Y, ainsi que les accents n'existent pas.
La prononciations :
E : se prononce (é)
J : (i)
Z : (s)
G : (gu)
X : (ch)
U : (ou)

Parlez un peu :
oui : bail
non : ez
bonjour : egun on
Au revoir : Ikus arte
Merci : Milesker
C'est bon ! : Ona da !
Assez : Aski
A votre santé : Zure Osagarriari
Il fait beau : Aroona da